Le 2 juin 2013 Les mouvements commencés par l’attaque par la police au parc Gezi a secoué la Turquie et aussi le monde entier en peu de temps . Si long que la police attaque, le nombre des manifestants ont remonté, les protestations ont pris la vitesse. Le déclenchement de crise des événements tout à […]
Le 2 juin 2013
Les mouvements commencés par l’attaque par la police au parc Gezi a secoué la Turquie et aussi le monde entier en peu de temps . Si long que la police attaque, le nombre des manifestants ont remonté, les protestations ont pris la vitesse. Le déclenchement de crise des événements tout à coup, la solidarité avec tous les adverses vues, l’expansion de la sphère d’influence en vitesse, également sans indépendant de ses résultats nous montre que nous faisons historiquement face au bouleversement social pensés comme ‘la catégorie d’événement’.
Même si cet événement éclate dans le temps inattendu, cela vient de l’augmentation de la pression du parti de la justice et développement (AKP) de plus en plus , l’incapacité devant les problèmes , la contestation de problème Kurde, le catastrophe de Syrie, le massacre Reyhanli .
Cet événement ‘ avec la vitesse en moral est formé au tour de principe ‘ être contre au régime AKP’. Ca nous rappel les composants confessionnels, technologie, les événements d’occupation de la place Tahrir, Porto del Sol, Sintagma, Wall Street. Ce rappel nous montre que l’événement Gezi a la dimension universelle. Les messages envoyés par des anti-capitalistes nous soutiennent et confirment cette dimension universelle. Le sujet de parc Gezi ‘ la multitude’ donc prend la responsabilité non seulement de la Turquie mais de l’événement qui secoue le monde l’année dernière. Cette réalité, c’est la raison qui se trouve derrière les medias de l’Europe et des Etats-Unis qui sont réticents de bien voir ce qui se passe en Turquie.
Cet événement a une ressemblance à la place Tahrir qui avait secoué le monde et également a un avantage qui devrait être souligné. En Turquie, il y a des partis à gauche fort, expérimentés, le mouvement démocratique national Kurde ; le parti du peuple républicain avec tous ses faibles, ses efforts pour être le démocrate social, la classe moyenne citoyen séculière qui est le républicain néo-nationaliste malgré tous les faibles. L’est et l’ouest de la Turquie a l’histoire de l’opposition de gauche qui a le combat fort et profond.
De l’autre côté, des événements qui se sont déroulés à Tahrir ont bien été disputés, surtout l’expérience de la Grèce et Syriza. Le problème n’est pas d’établir le similaire celui de Syriza ou de copier ses politiques. Le problème n’est pas de répéter des fautes faites. Les partis à gauche surtout les trois partis devraient essayer de commencer à agir tous tous ensemble sur ‘cet événement’ et de fonder le bloc historique contre le bloc dominant.
Car la chose la plus importante dans ‘cet événement’ est le ‘ momentum ’. On vit le combat de l’eau, de la matraque, des armes chimiques mais on vit également le combat de la colère. Le gouvernement essaie de casser le momentum de l’opposition. Si ce momentum est cassé sans l’opposition qui devrait obtenir une force précise, sans gagner la constitutionnalisme permanente mondialement c’est très claire de savoir ce qui se passera à la suivante.
‘Les manifestations Républiques’ avaient très effrayé le parti de la justice et développement . Après élections, comme prévu, AKP a accéléré les transformations, des attaques aussi : Les scénarios des strikes, des arrestations, les dominants vers le matin, des écoutes téléphoniques etc. Est-ce que ce n’est pas claire qu’on prendre la cible de quel secteur cette fois ? Garder le momentum a l’importance vitale littéralement.